Avec cette canicule... Nos particules basculent et gesticulent Nos molécules circulent sans calcul Tes tentacules bousculent ma renoncule Ton pédoncule acculerait bien mon opercule De l'aube jusqu'au crépuscule !
Avec d'autres lecteurs à testicules Je formerai bien un groupuscule D'autre lecteurs de cet opuscule Indignés par cette omission ridicule D'un verbe dont la rime se trouve de l'autre côté de votre monticule.
Je vous raconterais bien l'histoire de cet homoncule minuscule qui à bord d'un véhicule acheté avec son petit pécule (en fait, il vendait des fascicules sur la culture des renoncules...) se trouva un jour bloqué devant l'édicule du pont à bascule par la manoeuvre d'un camion rempli de caracules. Hors de lui, il s'adresse au conducteur : "Mais enfin, si quand j'avance tu recules, comment veux-tu que..." ...Mais en fait, ça n'a aucun rapport ! Quoique...
@Ambre, CUI et l'Eronaute: bravo ! Impressionnants.
Je ne parviens pas à poursuivre la série, car lorsque le plaisir gagne les testicules de Jacques-Jules l'homoncule et que déjà le plaisir les accule à lâcher via leur imposant tubercule une salve de purée de fécule, vient le temps du repos.
A moins de me permettre quelques libertés phonétiques avec des mots que ma prononciation écule, je me résoudrai à repasser en boucle ces textes que j'aime au point de chercher à en faire des émules.
Je savais déjà qu'Ambre est passée maîtresse (oh!) dans la manipulation des mots et d'autres belles choses . Je suis jaloux derechef, mais j'ai une excuse : il fait céans trop chaud pour penser.
Avec cette canicule, Quand vient le crépuscule, envie qu’il me bascule, de céder sans recul, me donner sans calcul, avec lui dans une bulle, sentir mon corps qui brule.
Après la joute photo, la joute des mots…sourire. Bises douces
Avec d'autres lecteurs à testicules
RépondreSupprimerJe formerai bien un groupuscule
D'autre lecteurs de cet opuscule
Indignés par cette omission ridicule
D'un verbe dont la rime se trouve de l'autre côté de votre monticule.
Je vous raconterais bien l'histoire de cet homoncule minuscule qui à bord d'un véhicule acheté avec son petit pécule (en fait, il vendait des fascicules sur la culture des renoncules...) se trouva un jour bloqué devant l'édicule du pont à bascule par la manoeuvre d'un camion rempli de caracules. Hors de lui, il s'adresse au conducteur : "Mais enfin, si quand j'avance tu recules, comment veux-tu que..."
RépondreSupprimer...Mais en fait, ça n'a aucun rapport ! Quoique...
@Ambre, CUI et l'Eronaute: bravo ! Impressionnants.
RépondreSupprimerJe ne parviens pas à poursuivre la série, car lorsque le plaisir gagne les testicules de Jacques-Jules l'homoncule et que déjà le plaisir les accule à lâcher via leur imposant tubercule une salve de purée de fécule, vient le temps du repos.
A moins de me permettre quelques libertés phonétiques avec des mots que ma prononciation écule, je me résoudrai à repasser en boucle ces textes que j'aime au point de chercher à en faire des émules.
> CUI, l'Eronaute et usclade : waouh ! les rimes en "ule", ça fait des émules... :)))
RépondreSupprimerJe savais déjà qu'Ambre est passée maîtresse (oh!) dans la manipulation des mots et d'autres belles choses .
RépondreSupprimerJe suis jaloux derechef, mais j'ai une excuse : il fait céans trop chaud pour penser.
Hutin chaud ...
Comment veux-tu, non mais comment veux-tu ...
RépondreSupprimerUn seul verbe vous manque... (et rien n'est dépucelé) !
RépondreSupprimerAvec cette canicule,
RépondreSupprimerQuand vient le crépuscule, envie qu’il me bascule, de céder sans recul, me donner sans calcul, avec lui dans une bulle, sentir mon corps qui brule.
Après la joute photo, la joute des mots…sourire.
Bises douces
> Anis : merci pour ce joli texticule...
RépondreSupprimerBises ensoleillées