Je crois que c'était à ce moment,
quand j'ai vu la naissance de ton cou, de ton torse,
dans l'échancrure de ta chemise,
ou quand j'y ai glissé ma main,
l'ai goûté de ma bouche,
ou bien plus tard,
quand tu étais nu, entièrement,
et ma tête sur ton ventre,
ou alors, entre tout ça,
quand mon mon corps était objet de tes mains qui le sculptaient...
A ce moment, j'ai su
que ton corps entrait dans ma peau...
pour ne pas en sortir de si tôt.
Quand on se laisse pénétrer, difficile d'envisager le moment de la déchirure. Alors, continue de vivre cette passion si délicieusement chevillée au corps!
RépondreSupprimerUnion des corps bien délicieusement sculptée.
RépondreSupprimerBisous tendre.
Maxime R.
Témoignage sensible de ces petits moments de grâce, qui me parle d'autant plus que je viens justement de redécouvrir toute la portée de l'expression "avoir quelqu'un dans la peau"...
RépondreSupprimerC'est à ce moment-là... et à tous ceux qui ont suivi...
RépondreSupprimerque je comprends, que je vis ça...
RépondreSupprimermerci de le mettre en mot si joliment.
Il se peut qu'il n'y ait qu'un moment pour que cela se produise mais le plus souvent c'est bien une multitude de moments qui nous étreignent en y songeant et nous font dire, ou penser si les mots sont absents, combien notre être est investi de l'autre ....Piaf l'a si bien chanté avec ses tripes ...Oui ... Dans la peau, dans les tripes, dans la tête ....
RépondreSupprimer> Psganarel : oh, je suis quelqu'un qui aime/vibre/désire (pour) longtemps...
RépondreSupprimer> Maxime : merci à toi ! Vécue, plus que sculptée...
> usclade : ça me réjouit de te voir dire ça !
La peau étant "l'organe le plus profond chez l'homme..."
(j'ajoute "et chez la femme"!), garde cette magie du dehors, au dedans ! :)
> Mais...sage : Vous avez le don de les multiplier... C'est une grâce ! :)
> Dita : merci. Se le dire est un plaisir de plus ! :)
> Chilina : une multitude de moments, oui... Mais certains restent gravés, longtemps, comme un arrêt sur image, un déclic, une prise de conscience de l'intensité du désir. Et y penser nous y replonge ! :)
Des grains d'Ambre comme j'aime ...
RépondreSupprimerIl y a toujours ce moment où l'on pénètre l'Autre, quelque soit la manière, pour ne plus s'en échapper ...
Baisers Ambrés.
L'un en l'autre . Etre l'autre pour ne plus qu'en jouir . Comme tous les mystères , de la chair et autres , il échappe aux mots ; il est son propre achèvement comme sa propre floraison , sa propre plénitude .
RépondreSupprimerLe Hutin
J'aime beaucoup. La chute est le final d'une savoureuse mise en bouche...
RépondreSupprimerJolie faim... (fin!)
RépondreSupprimer> Philo : il faut la saison, le soleil, l'air du temps, va savoir... et les grains d'ambre germent ! (garantis sans E.Coli)
RépondreSupprimerIl y a des moments où l'on prend conscience de son attachement : ils fugitifs, et troublants... même quand l'attachement est devenu une évidence.
Baisers.
> Le Hutin : c'est un mystère, poétique, voire mystique comme tu le dis. Les mots sont faibles, légers pour le décrire. Mais la légèreté sied bien au mystère ; elle en est une des ses forces : car elle le rend vivable...
RépondreSupprimer> gourmand Galandin : tu l'as dit !
> Titia d'or : une faim... sans fin ! :)
Suis passée voir tes photos récentes, elles sont très jolies !
Bisous
Under your skin ?
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