Et toi, tu ne sais pas comment,
tu ne t'en doutes pas vraiment,
en ces moments indicibles,
de sensations invisibles...
tu ne t'en doutes pas vraiment,
en ces moments indicibles,
de sensations invisibles...
Après nous dirons :
c'était fort, ou beau, ou bon...
c'était fort, ou beau, ou bon...
Et rien ne saura le dire,
que le secret de nos corps emportés,
que le secret de nos corps emportés,
que nos délires, intenses, insensés...
Et toi, ce jour-là, tu m'amènes
en des sensations qui me surprennent,
je suis louve, panthère, fauve femme,
et les cris que je m'entends faire
viennent du fond de moi
si profond et si loin
que je ne les reconnais pas...
Et je te regarde autrement,
et ma reconnaissance
infinie, de ce plaisir
t'émeut, te fait sourire,et t'étonne vaguement...
Promenons-nous dans l'émoi, pendant que la louve y est... :)
RépondreSupprimerJoli ! :)
Supprimer(Ah c'est malin, je vais chanter ça toute la nuit maintenant ! )
Fauve femme, mais femme avant tout !
RépondreSupprimerRetrouve encore ces plaisirs avec lui afin de reconnaître ces cris nichés au fond de toi !
Ne serait-ce pas des cris d'un grand amour tout simplement ?
L'Ane Onime.
Sensations et sentiments, c'est tout pareil alors ?
SupprimerMais humm, on est parfois très animale, quand même... :)
Amour sorcier qui nous révèle bien en deçà et au delà des mots dans la fulgurance sacrée de notre animalité..
RépondreSupprimerBravo pour avoir retranscrit si justement l'indicible ...
Tendresses
Elise
Merci Elise !
SupprimerLes mots sont tapis en nous, longtemps, et parfois sortent par fulgurances brèves... Enfin, cela marche comme ça pour moi !
Les tiens sont si fluides, ils m'étonnent toujours.
Baisers
De bien jolis vers, Madame la Louve. Je rêve d'être le prochain petit chaperon rouge que vous dévorerez :)
RépondreSupprimerMerci... C'est pour mieux vous déguster mon enfant ! :)
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