Question que l'on se pose souvent au ( presque ) contact de l'autre ... J'aime beaucoup toucher. Et pourtant cela n'arrive pas toujours ! Alors on se demande pourquoi cela n'a pas été possible ... Bisous Ambre.
oui, parfois il y a des envies qui vous brûlent et c'est pourtant délicieux de ne pas y céder, comme si on voulait que cette sensation dure le plus longtemps possible... Mais avec quelqu'un en face de moi ainsi assise en tailleur, comme si cette jolie figurine dorée prenait vie, je ne sais pas si je résisterai longtemps à la torture :-)
" Tandis qu'elle me parle, je l'écoute, attentivement j'essaie, et je me pose cette question: comment est-ce possible de ne pas la toucher? "
Envie dans sa tête refoulée, par peur, honte ou timidité... Ne point donner suite, devient torture lorsque l'envie de la baiser est si forte... Alors oui, je me pose cette question, le monde a t-il tant changé, que je n'ose aborder une femme sans avoir la trouille de trébucher, de me faire éjecter? Ou serait-ce moi, qui ai tant changé? Parfois, je souhaiterai redevenir primaire, comme du temps de ma folle jeunesse... " La sortir de la braguette, bien tendue et bien raide... Lui prendre la main, la poser sur mon membre et lui dire : touche, amuse-toi, elle est à toi! Elle est pour toi, fais en ce que tu veux ". Loin des mots inutiles, ne laissant place qu'au désir... Mais, j'ai pris du plomb dans l'aile, sans doute... Mais revivre, c'est cela aussi, pour moi... Vivre le plaisir, même si ce n'est que fugitif et ne durera qu'un instant... Vivre celui-ci de manière intensive en profitant du moment. Alors, pourquoi nous posons-nous tant de questions? Bises à toi Ambre
Être touché... par les mots,par le regard...une émotions qui naît puis être touché par une main, des mains, par des lèvres... L'hésitation à se toucher ne tiendrait-elle pas au fait que l'autre est un sanctuaire,il n'est pas sain(t) de mettre la main sur l'autre si c'est pour le posséder. L'hésitation est le temps de l'apprivoisement. Bisous Roc.
> psganarel : "mourir d'envie de le faire", oui ! On n'en meurt pas, on en vit de manière décuplée !
> Philo : ce n'est peut-être qu'une question de temps... Bisous.
> photaphil : je n'ai pas mis de contexte pour qu'on puisse imaginer ce qu'on veut, mais ton interprétation peut être juste : il y a un avant, et un après, à l'harmonie du toucher.
> usclade : cette jolie figurine serait peut-être habillée ! Mais le temps qu'il faut avant de toucher l'autre est parfois vécu différemment par les deux, et c'est délicieux et impérieux à la fois !
> Michel : nous nous posons des questions car nous sommes humains ! et parce que nous vivons en société, et qu'il y a des règles, des étapes... toute une culture qui donne du sens au toucher ! Je ne le déplore pas forcément, je dis que parfois le ressenti m'envahit. Mais d'abord, l'autre en face en a-t-il envie ? Et quel sens cela a-t-il pour l'autre, si je le touche ? Alors, j'y pense avant d'agir... Bises Michel.
> Roc : merci de ramener dans cette réflexion le sens "d'être touché", qui dit bien comme le ressenti est déjà fort avant le contact ! "L'hésitation est le temps de l'apprivoisement." C'est joli, ça ! Bisous à toi.
pourquoi ? ben, à cause des contraintes de la vie, tout simplement.. on en meurt (généralement) pas, Dieu soit loué ! même si ... pas toujours facile à vivre, cette frustration ! (en tout cas moins difficile que lorsqu'elle n'est pas partagée :-))
> "ambre" qui n'est pas moi : merci de signer vos commentaires autrement que par mon pseudo ! Considérons que c'est une erreur, je ne l'efface pas pour cette fois. La frustration de ne pas toucher, si elle est partagée, peut être aussi délicieuse que douloureuse, par la complicité des non-dits et actes manqués, oui !
S'étonner de ne pas l'avoir encore fait!
RépondreSupprimerOu de ne pas avoir osé le faire!
Ou mourir d'envie de le faire!
Le premier contact est si important!
Question que l'on se pose souvent au ( presque ) contact de l'autre ...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup toucher.
Et pourtant cela n'arrive pas toujours !
Alors on se demande pourquoi cela n'a pas été possible ...
Bisous Ambre.
impossible de répondre à cette question quand on ne ignore le contexte...
RépondreSupprimerdes fois l'éloignement est tel que la proximité physique ne suffit plus...
oui, parfois il y a des envies qui vous brûlent et c'est pourtant délicieux de ne pas y céder, comme si on voulait que cette sensation dure le plus longtemps possible...
RépondreSupprimerMais avec quelqu'un en face de moi ainsi assise en tailleur, comme si cette jolie figurine dorée prenait vie, je ne sais pas si je résisterai longtemps à la torture :-)
" Tandis qu'elle me parle, je l'écoute,
RépondreSupprimerattentivement j'essaie,
et je me pose cette question:
comment est-ce possible de ne pas la toucher? "
Envie dans sa tête refoulée, par peur, honte ou timidité... Ne point donner suite, devient torture lorsque l'envie de la baiser est si forte... Alors oui, je me pose cette question, le monde a t-il tant changé, que je n'ose aborder une femme sans avoir la trouille de trébucher, de me faire éjecter? Ou serait-ce moi, qui ai tant changé? Parfois, je souhaiterai redevenir primaire, comme du temps de ma folle jeunesse... " La sortir de la braguette, bien tendue et bien raide... Lui prendre la main, la poser sur mon membre et lui dire : touche, amuse-toi, elle est à toi! Elle est pour toi, fais en ce que tu veux ". Loin des mots inutiles, ne laissant place qu'au désir... Mais, j'ai pris du plomb dans l'aile, sans doute... Mais revivre, c'est cela aussi, pour moi... Vivre le plaisir, même si ce n'est que fugitif et ne durera qu'un instant... Vivre celui-ci de manière intensive en profitant du moment.
Alors, pourquoi nous posons-nous tant de questions?
Bises à toi Ambre
Être touché... par les mots,par le regard...une émotions qui naît puis être touché par une main, des mains, par des lèvres... L'hésitation à se toucher ne tiendrait-elle pas au fait que l'autre est un sanctuaire,il n'est pas sain(t) de mettre la main sur l'autre si c'est pour le posséder.
RépondreSupprimerL'hésitation est le temps de l'apprivoisement.
Bisous
Roc.
> psganarel : "mourir d'envie de le faire", oui ! On n'en meurt pas, on en vit de manière décuplée !
RépondreSupprimer> Philo : ce n'est peut-être qu'une question de temps...
Bisous.
> photaphil : je n'ai pas mis de contexte pour qu'on puisse imaginer ce qu'on veut, mais ton interprétation peut être juste : il y a un avant, et un après, à l'harmonie du toucher.
> usclade : cette jolie figurine serait peut-être habillée !
Mais le temps qu'il faut avant de toucher l'autre est parfois vécu différemment par les deux, et c'est délicieux et impérieux à la fois !
> Michel : nous nous posons des questions car nous sommes humains ! et parce que nous vivons en société, et qu'il y a des règles, des étapes... toute une culture qui donne du sens au toucher ! Je ne le déplore pas forcément, je dis que parfois le ressenti m'envahit. Mais d'abord, l'autre en face en a-t-il envie ? Et quel sens cela a-t-il pour l'autre, si je le touche ? Alors, j'y pense avant d'agir...
Bises Michel.
> Roc : merci de ramener dans cette réflexion le sens "d'être touché", qui dit bien comme le ressenti est déjà fort avant le contact !
"L'hésitation est le temps de l'apprivoisement."
C'est joli, ça !
Bisous à toi.
Je brûle de ce toucher qui me manque tant quand il est absent...
RépondreSupprimerEtre ou ne pas être tactile ?
RépondreSupprimerC'est toute la différence entre le vouloir et le pouvoir,le virtuel et le réel.
> chilina : se consumer d'un manque de toucher... et s'embraser quand il arrive !
RépondreSupprimer> anonyme : toucher ou ne pas toucher, c'est aussi la question, vous l'avez dit.
pourquoi ? ben, à cause des contraintes de la vie, tout simplement..
RépondreSupprimeron en meurt (généralement) pas, Dieu soit loué ! même si ... pas toujours facile à vivre, cette frustration ! (en tout cas moins difficile que lorsqu'elle n'est pas partagée :-))
Eh ! qui signe pour moi ?
RépondreSupprimerJ'attends la réponse ou je supprime le commentaire ci-dessus.
> "ambre" qui n'est pas moi : merci de signer vos commentaires autrement que par mon pseudo ! Considérons que c'est une erreur, je ne l'efface pas pour cette fois. La frustration de ne pas toucher, si elle est partagée, peut être aussi délicieuse que douloureuse, par la complicité des non-dits et actes manqués, oui !
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