dimanche 2 octobre 2011

Je voudrais

Je voudrais
que tu me prennes
que tu m'apprennes
que tu me surprennes

Pour dissiper les jours de peine
je voudrais que tu me tiennes
que tu m'entraînes
que tu me retiennes
que tu me contiennes

Que tu prennes
les rênes.

6 commentaires:

  1. Bonsoir Ambre,

    Vous nous direz si le message a été entendu aussi bien qu'il le mérite.
    Savez vous que des rênes au fouet il n'y a qu'un tout petit pas qui se franchit au galop, parfois ..?

    Baisers pleins de sous-entendus !
    Amandier

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  2. Pas mal ; notre Ambre raffolle de ces rimes qu'elle manie avec un égal et un régal bonheur .
    Au fait , ai-je déjà dit ici que "Ambre" était autre fois un nom de route aérienne ?
    Le Hutin aviatin .

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  3. > Amandier : votre réflexion me plonge dans des abîmes de... réflexion, devrais-je dire ! (et de rêve, devrais-je l'avouer ?)
    Merci pour le sourire !
    (Vous dirai la suite. Ou pas !)
    Baisers

    >Le Hutin : Merci ! Oui mon bon Monsieur, vous avez déjà dit ça ! :)
    Mais on ne décolle pas à tous les coups, on fait ce qu'on peut ici-bas... (Enfin, je dis ça, n'importe quoi, histoire de causer !)

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  4. Des désirs si bien contés; et si les vers des plaisirs désirés riment entre eux et avec la réalité ...
    Bisous tendres

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  5. Saurai-je un jour,
    Qui te prendra,
    Qui t'apprendra,
    Qui te surprendra ?
    Mais serait-ce réellement qu'un rêve ?
    Ou serait-ce "rêvement" réel ?
    Tendres bisous.

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  6. > Maxime : merci ! Quelquefois, oui, la poésie rime avec la vie !
    Bises de nuit.

    > Anonyme : bienvenue ici, pour ce (peut-être) premier commentaire...
    "Qui saura... ?" comme la chanson ?
    Ou comme Boris Vian : "Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventée"...
    Bises réelles.

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