dimanche 13 septembre 2009

Désir


Que je convoque l'image de ton corps, et elle est immédiate : ton corps, ton parfum, ta chaleur, ta présence. Et avec elle, celle de nos caresses, de nos ébats... Et l'état dans lequel tout cela me met. Ça n'a pas de cesse, je ne m'en lasse pas.

"Je déclare l'état de désir permanent !" (ou quelque chose comme ça, dit Moustaki).


(Image : J. Mercier, "le corps en désirance").

14 commentaires:

  1. Avant de commenter, quelques extraits de cette belle chanson de MOUSTAKI
    "Que ma femme soit belle à chaque heure du jour
    Sans avoir à se dissimuler sous le fard
    Et qu'il ne soit plus dit de remettre à plus tard...
    L'envie que j'ai d'elle et de lui faire l'amour"
    "Je dis que, désormais nous serons responsables.
    Nous ne rendrons de compte à personne et à rien.
    Et nous transformerons le hasard en destin, seuls à bord et sans maître et sans dieu et sans diable. Et, si tu veux venir, passe la passerelle. Il y a de la place pour tous et pour chacun. Mais il nous reste à faire encore du chemin. Pour aller voir briller une étoile nouvelle. Je déclare l'état de bonheur permanent"

    Tu as une adaptation très libre mais tout autant libertaire dans l'âme et dans le corps, de t'exprimer... Sans doute honnête et sincère... Alors, comme dit MOUSTAKI "Il y a de la place pour tous et pour chacun". Permets moi d'adhérer à cette belle symbolique "Je déclare l'état de désir permanent" Pour toutes et tous!
    A chacun(e) de définir ses propres modalités d'application... BISES à TOI.... MICHEL

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  2. Le désir ne se décrète pas,il arrive sans prévenir et c'est encore plus beau.

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  3. > Michel : merci de ces extraits que tu nous remets en mémoire, c'est une très belle chanson.
    Et quant au désir, à chacun de le vivre comme il le vit... C'était une sensation exprimée !
    > Anonyme : joliment dit. Oui le désir est un (très beau) mystère.

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  4. ben non je ne suis pas d'accord, le désir ne se "décrète" pas, il se nourrit, s'entretient, se protège, comme un petit enfant fragile
    si on le délaisse, il s'étiole et finit par mourir..

    Ambre, tu me charmes toujours autant..
    bisous ma belle

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  5. A BAS LES MURS DE L'AMOUR !

    Peut-on être et non paraître dans cette
    vie ?
    Apitoyé, difforme on me dit
    Bankal ou tordu, pourtant mon corps existe et vit !

    Rien de moi, n'est peut-être conforme
    Si je ne suis pas dans les normes,
    Tristes sont nos p'tites images uniformes

    De cette naturelle folle envie de se
    rencontrer,
    J'ai mal en moi de te voir t'éloigner
    Avec tes yeux aux regards gênés

    Alors… ? ! - Libérons-nous de nos ghettos du mental
    Sautons les verrous de notre cérébral
    Apprenons à dépasser nos frontières du normal

    Ensemble, abattons les murs de nos têtes
    qui nous séparent
    Pour ne plus avoir entre nous d'écarts
    Refusons et résistons à toutes les mises à part !

    Un jour viendra, où on connaîtra
    l'amour, sans hontes et sans gênes.
    Libres dans nos corps et dans nos têtes
    on vivra sans barrières qui nous retiennent,
    Une vie sans chaînes !

    Déjà, en chacun de nous une belle histoire va commencer,
    Ouverts à corps et à cœurs nus, nous nous laissons aller
    Peut-être allons-nous intensément nous AIMER… !

    Jean-Luc HERIDEL
    (Tous Droits Réservés)

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  6. > Vallis : aussi je n'ai pas dit "décrète", mais "déclare" : c'était un ressenti ! Tu as raison, il a besoin de soins, comme tu le dis.
    Mais parfois, ne te semble-t-il pas comme un fleuve, inépuisable ? Ce n'est pas réel, mais c'est une sensation.
    Bisous à toi.
    > Jean-Luc : toujours aussi beaux tes poèmes ! Et si pleins de vie, de désir de vie et d'amour !
    Le fleuve est en toi c'est sûr !
    Je t'embrasse.

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  7. Bonjour,

    Le "CHEMIN" est long et sinueux, celui de nos voies intérieures... Mais une fois tracées et appliquées, il n'est plus besoin d'élever la voix!
    J'essaye de m'accepter et mieux comprendre les autres, même si cela parfois m'est dur... ETTY, une vie bouleversée... avec l'aide de Vallis qui me fît découvrir ce livre, et bon nombre de réflexions...
    Peut-être aurons-nous l'occasion d'en parler, d'échanger... Qui sait!
    En attendant, le temps file... J'ai encore pris aujourd'hui... Qu'importe, ce n'est pas la durée de vie la plus importante... Seulement l'intensité que l'on met à vivre... Simplement!
    Merci de ton passage, en mes pages... MICHEL

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  8. J'aime bcp cette phrase ! Elle me fait echo.
    J'aime aussi ce "convoque" pour se nourir de l'autre!

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  9. > Michel : l'intensité de la vie, ça m'évoque quelque chose, oui ! Je découvre Etty chez Vallis, je vais en lire un peu plus.
    > X-Addict : contente que ça vous parle, vraiment contente que ça fasse écho !

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  10. Je suis de l'avis de Vallis...C'est pas comme ça en claquant des doigts...
    Parfois j fais la mystérieuse, je le drague, je l'allume pour que jamais son désir de tarisse...
    Je me fais distante aussi pour qu'il me donne envie encore...
    Trop bon...
    Et hop dans mes liens je reviendrai plus souvent comme ça...
    Bises belle

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  11. > Miss Anis : vous avez des réserves de désir tous les deux, et l'entretenez talentueusement ! Merci de ton passage, c'est toujours un plaisir de vous lire aussi. Bises

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  12. Bonsoir Ambre,
    on ses ent bien chez vous
    On respire le clame et la douceur
    un doux apel aux desir sans obligation ...Oh oui j'aime
    Bonne soirée

    Elena

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  13. On se sent bien ... et on respire le ''calme''
    Pardon pour les fautes ... :D

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  14. > Elena : merci de votre passage. De jolies choses aussi en vos pages, de soie et de satin...

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