samedi 27 février 2010
Vivement les beaux jours !
Oui, bon, on s'en fout !
Parce que je me verrais bien autant pêcheuse que pécheresse, là...
mercredi 24 février 2010
Il faudrait...
Ici par exemple.
Comme en faisant l'amour.
Qu'on puisse se dire "Je n'aime pas ceci ou cela", "Ce n'est pas ce que je préfère", ou "J'aime mieux quand tu... ", "Et ça, ça ne m'inspire pas", ou carrément "Oh, non !" ou bien "Continue comme ça !"
Il faudrait qu'on puisse se le dire sans en prendre ombrage, sans traduire : "Je suis nul(le)", "Je fais mal".
Mais qu'on puisse comprendre : "Tu préfères ça, je vais essayer d'en tenir compte" !
Ou bien alors : "Oui mais moi, je le sens plutôt comme ça !"
Et puis, que d'être soi-même, ce soit explorer différentes facettes, nos possibles et nos limites, nos préférences et nos références.
Donc : si tu te demandes où je veux en venir, voici :
je ne suis pas caractérielle. Ça, c'est dit. Les commentaires pour dire qu'on aime, ou blaguer, les clins d'oeil, j'adore, c'est super apprécié !
Mais les commentaires pour dire ce qui ne va pas, ce qui est nul ou pas terrible, ce qui ne vous inspire pas, les mouvements d'humeur : ouvrez la porte, lâchez-vous, pas de souci, un peu de liberté que diable !
D'accord ?
mardi 23 février 2010
Virgule
J'ai envie, de te voir, d'être avec toi, de te sentir tout près, de te toucher, de te prendre dans mes bras.
De te voir, d'être avec toi, de te sentir tout près, de te toucher, de te prendre dans mes bras, j'ai envie !
Moralité : de l'amour au désir, de la déclaration à la pulsion, une virgule : une virgule, seulement...
jeudi 18 février 2010
Tag : Crac boum hue !
Quelques clins d'oeil pour y répondre (titres du tag en rouge), et en même temps taguer à mon tour quelques blogueurs :
Un étonnant retournement !
Je le retrouve comme convenu à son bureau. Mais là, il m'annonce que notre séance est à reporter à un peu plus tard dans la soirée : il s'excuse, il a un imprévu, une réunion importante, qui doit démarrer d'un moment à l'autre, dans son bureau. Il doit aller accueillir ses partenaires de travail, il est désolé... Il faut que je m'apprête à patienter une heure ou deux, ou que j'aille boire un verre et il me rejoindra au plus vite...
Tandis qu'il file à l'accueil pour réceptionner ses collaborateurs, je vois que sa porte est restée ouverte. Je me faufile, je me glisse sous le bureau et m'y cache. Personne ne le saura, il peut la faire, sa réunion ! Et moi, sous la table, j'ai le champ libre... Comment ça je risque de perturber la réunion, de troubler son travail ? Son travail, je ne sais pas... lui, peut-être !
Puisque le ciné attendra, commençons par la scène du bureau... n'est-ce pas, Philo !
Gimme somme "loooove"
Et puis ce ne sera que le début de la nuit, fais-moi l'amour et prends-moi dans tes bras, prends-moi de tous tes membres, et que je dorme épuisée comblée revivifiée regaillardie...
Et qu'au matin je te réveille de caresses, coquine malice et complice : je t'ai attaché les mains et les pieds, et mes mains aussi, c'est un jeu : on n'a droit qu'à la bouche et au sexe... pour commencer !
Parce que le sexe et l'amour, c'est joyeux et libre et plein de délices... sourire et clin d'oeil à la petite fée : Home.
Un joujou extra à ne pas mettre entre toutes les mains (mais peut-être entre toutes les... ohlala)
Il est si long, si doux, si soyeux, si tentant, si incroyablement fait, si remarquable, si extraordinaire et si attirant... Messieurs n'en soyez pas jaloux, mesdames retenez-vous, oui je sais, c'est terrible, quel spectacle, on n'en puit plus, et encore, ce qu'on en voit n'est rien à côté de l'avoir en main...
Si j'en ai une photo ? Et bien il vous faudra aller à la pêche, à la chasse au trésor, c'est qu'on ne dévoile pas comme ça, sans le mériter, un tel joyau :
la cravate de Gaspard !
Le meilleur moyen de résister à la tentation, c’est d’y succomber et …peu importe son prix !
Cette fois-ci, je ne fais pas n'importe quoi : je réfléchis, je regarde, je fouille, je trie, je récupère, en un mot j'économise ! Allez hop, grand rangement du placard, du sol au plafond, je vais bien trouver quelque chose !
Oui mais...
Il y a toujours un « mais » dans ce genre de plan. (Sinon y'aurait pas de blog ! Ben oui, laissez-moi vous expliquer ! Ah, heureusement qu'il y a les blogs, où personne ne vous interrompt, pour pouvoir s'expliquer tranquillement ! )
Mais cette jupe, avec sa veste, bien élégante, c'est la classe, mais... elle ne me va plus : je garde la veste, on ne sait jamais, mais la jupe, pfff, trois (ou cinq, mais on va pas chipoter) kilos de trop pour pouvoir la fermer... C'est trop injuste !
Mais cette robe, ah, je l'aimais bien, la petite robe noire... mais ça s'est déjà trop vu, je ne peux plus mettre ça !
Mais cet ensemble, waouh les fleurs... mais les fleurs, c'est complètement démodé.
Mais ce petit top, là... je n'ai plus rien pour aller avec ça !
Mais ce pantalon, zut il me serre un peu, lui aussi !
Mais cette tenue, ce n'est pas un peu trop flashy ?
Mais ça, c'est pas mal, oui... mais je n'ai pas de chaussures pour aller avec !
C'est vraiment trop injuste vous avouerez... mais vous voyez bien que je n'ai pas le choix : il faut absolument que je me remette au shopping, alors que les soldes viennent de finir !!!
Tu me comprends, Véro Papillon ?
Un délice, un supplice, les deux sont liés !
Parce que ma parole vous le faites exprès ? Oui !
Parce que vous le demandez ? Oui !
Parce qu'on dirait que vous aimez ça ? Oui !
Non mais vous êtes sûre, vous êtes sûre de ne pas le regretter, de ne pas me dire après que j'en fais trop, que je vous mène trop loin ? Non...
Alors cette fessée, vous l'aurez voulue, hein ? Oui !
Clin d'oeil à l'Eronaute, à X-Addict et à Arnaud, pour leurs affriolants récits de fessée !
La vengeance est un plat qui se mange froid !
Si l'on peut parler de vengeance... (sourire), j'adresse un clin d'oeil à la première qui m'a taguée, ma « marraine » de tag donc, mon initiatrice en quelque sorte, et aussi de blog et de plume, elle sait pourquoi : Ange solaire !
Et j'aurais bien tagué aussi Michel, Phil, Anis, Titia, mais... c'est déjà fait !
Allez voir chez Chilina. Allez hop, au boulot ! ;-)
Précision, à tous les amis blogueurs/blogueuses tagué(e)s :
Le principe de ce tag est d'écrire quelque chose en rapport avec le thème de chaque titre (ici en rouge). Et puis de proposer le jeu à d'autres.
(L'idée de faire les deux en même temps, rédiger et taguer en faisant des clins d'oeil, c'est moi qui l'ai ajouté par fantaisie, mais ce n'est pas dans le principe de départ !)
Bonne plume !
lundi 15 février 2010
Salle d'attente
Il n'y a plus qu'une femme et un jeune homme devant moi. C'est le tour de la dame, je reste seule avec le jeune homme. Il joue avec son téléphone. Je lis. On échange quelques mots sur le temps qu'il fait. Avec sa casquette vissée sur la tête, quelques boutons sur les joues, il me fait penser à un ado. Je feuillette distraitement une revue. Il se lève, regarde à la fenêtre, puis se rassied. Il enfile son sweat-shirt qui était posé sur le dossier d'une chaise, il prend son temps, replie les manches soigneusement jusqu'aux coudes, tout en m'observant semble-t-il. Je n'en suis pas sûre et je n'y prête pas trop attention, mais je sens son regard sur moi.
A côté on entend une porte s'ouvrir et le médecin prendre congé de la dame dans le couloir.
Le jeune homme se redresse, s'apprête à se lever. Je relève la tête. Tout à coup, il me dit :
« Je tiens à vous dire que je vous trouve très charmante ! »
Je suis un peu interloquée, j'éclate de rire, et après un instant :
« Merci, ça me fait plaisir ! Mais tu as quel âge ? »
(Le tutoiement m'a échappé) :
- 24 ans !
Je ris :
- J'en ai 20 de plus !
- Oh, ça ne fait rien, ça n'empêche pas... »
Il s'est levé, il me semble qu'il rougit un peu...
Le médecin ouvre la porte, et l'invite à le suivre.
Je reste seule un moment, puis un couple entre. Je ne lis plus. Je ne m'ennuie plus dans la salle d'attente : je suis réjouie, un rien me fait sourire. Je me dis que même si l'épisode est clos, il m'a bien étonnée et amusée !
Puis c'est mon tour. Le bon docteur me confirme une otite, et me prescrit quelques remèdes. Bon, rien de grave. Je vais passer illico à la pharmacie et rentrer...
Mais en sortant, sur le parking, qui est là, l'air frigorifié ? Le jeune homme, son téléphone à la main. Je suppose qu'il attend quelqu'un. Je vais vers ma voiture. Il vient vers moi, m'aborde, me demande si je peux le déposer à la pharmacie. Je souris : soit ! Je trouve qu'il n'a pas froid aux yeux. Il y a 500 m à faire.
Je le laisse donc à la pharmacie. Entre-temps, il me questionne, il veut en savoir des choses, où j'habite, ce que je fais... Et lui ? Il est matelot me dit-il, sur les bateaux, au Luxembourg.
Matelot, au Luxembourg !
Décidément ce garçon n'est pas banal !
Je souris toute seule en rentrant chez moi...
Voilà qui m'a réjouie pour la soirée !
Je me demande si c'est un effet des nouvelles bottes ?
dimanche 14 février 2010
Cri du coeur
lundi 8 février 2010
Le pied
Tu le prends dans tes deux mains, tu le touches et le caresses, sur tout le pourtour, toute sa surface. Tu le masses doucement, frottes le talon et la plante de tes pouces, le bord externe et interne. Tu caresses le dessus, pétris le dessous, dessines la cheville en explorant tous ses creux et bosses... Tu t'attardes aux orteils, les cajoles un à un longuement, les tires doucement, passes tes doigts entre deux et en-dessous, les plies et les déplies...
Tu reprends tout le pied à pleines mains, le dessus, le dessous, et l'enveloppes de ta chaleur, le lisses comme l'argile d'un modelage. Il se fait tout doux et souple, la détente monte dans tout mon corps, je soupire et je te l'offre, en longs gémissements de bonheur.
Tu feras l'autre pied, puis les deux en caresses généreuses...
Après ça, je me lèverai, et la plante de mes pieds se pose souple sur le sol, et mon corps plus vivant, danse en marchant.
Ou bien je te rendrai la pareille, pétrirai joyeusement de mes mains tes pieds, heureuse de ton bien-être...
Ou alors... tes caresses ne me lâcheront pas, elles monteront, des chevilles à mes jambes, des cuisses à l'entrecuisse ; et qui sait où nous irons...
lundi 1 février 2010
Tentation têtue fessue
Je n'ai pas de bon souvenir des quelques (rares) fessées que j'ai reçues étant enfant. Je ne fantasme pas sur le fait d'être punie comme une petite fille. J'ai horreur de la violence. Et je ne suis pas maso, je n'aime pas souffrir.
Mais tes mains sur mes fesses, j'aime ça. Elles se font caresses, et j'adore... Mais c'est trop doux, j'ai envie d'autre chose. Elles appuient et m'empoignent, me pressent et me pétrissent, et je gémis de bien-être. Je sens leur potentiel de plaisir, fesses fessues, lobes généreux, ronds et tendres : la chair par excellence ! Je les trouve emplies, de plus en plus abondantes, moi qui par ailleurs n'ai jamais été grosse.Tu les trouves juste à ton goût, pleines et rondes et gourmandes.
Ô le plaisir de te les offrir alors, de te les dédier, à tes yeux à tes mains, à tes caresses à tes baisers... Mais les baisers, les effleurements ne les comblent pas, elles aiment les mouvements plus amples, les gestes qui les ébranlent, qui les prennent toutes.
Je n'aime pas la tape unique sur des fesses habillées, tandis que je cuisine ou suis occupée : je ne suis pas la brave Ninon ! Du coup, longtemps, tu n'as pas osé aller plus loin...
Mais moi, plus ça va, plus ça me titille... l'envie de fessée !
Petites tapes qui réveillent ma peau et mes sens, j'aime ça et je te le dis. Je t'y incite, je t'en demande encore... Claques plus vives et répétées : encore, encore ! Tu n'as pas de violence en toi et aucune envie de me faire mal. Mais mon plaisir t'intrigue et t'attire, tu y prends goût. Je t'encourage, fesse-moi encore, je veux... une bonne fessée !
Je veux que ça claque et que ça dure, il n'y a pas de douleur, je ne la sens pas, mais ces fessées répétées, que tu n'oses encore faire trop vives, alternées de caresses sur et entre les fesses, de tes doigts qui s'insinuent, c'est... un plaisir exquis !
C'est un jeu aussi, cette position d'abandon quand je t'offre mes fesses... Le plaisir est peut-être dans ce qu'on ne dit pas, les fantasmes sur le fil, un peu de domination-soumission, va savoir ? Je ne sais pas.
Je sais surtout, je sens, que ces tapes têtues, claques claquantes, fessées fessues, me font comme un réveil (s'il en était besoin ! - sourire -) du plaisir de tout le bassin, de mon sexe à mon ventre... Il y a une résonance du plaisir, des fesses à tout le sexe. Les claques font des vibrations qui irradient des ondes de plaisir à mon sexe qui se mouille, clito excité et fente inondée, fesses et ventre brûlants...
Je crois qu'on peut jouir, comme ça ! Je crois que je vais y venir...
...
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C'est étrange, les blogs sont pleins d'histoires de fessées, ces temps-ci : serait-ce une envie saisonnière ?
...
De quoi lire là-dessus, des beaux récits, des infos, sur ce site dédié à la fessée :
Photos perso.