« J'ai soulevé
La peau des nuits
Tes yeux, je crois, me l'ont permis
J'ai soulevé
La peau des nuits
J'y ai trouvé
ce qu'on m'a pris :
le soleil »
Texte et musique : Arman Méliès (Néons blancs et Asphaltine)
La « peau des nuits », je me demande ce qu'elle est :
- le crépuscule, qui semble tomber comme un voile, pour engloutir la lumière et nous plonger dans l'obscurité ?
- les paupières qui se ferment, et qui coupent le regard comme un rideau ?
- ou bien, la « peau des nuits », puisque « tes yeux me l'ont permis », serait-ce le drap du lit, ou le vêtement, enfin ce qui couvre un corps, et le soulever serait le dévêtir ?
- ou bien serait-ce vraiment de la peau, lèvres ou prépuce, celle qui couvre le sexe en sa partie la plus sensible ? Et y toucher serait... retrouver le soleil !
J'aime cette petite chanson étrange aux interprétations multiples, avec son crescendo final...
A écouter ici, un extrait.
Il y a 4 jours
Joliment trouvé et joliment dit.
RépondreSupprimerHutin enjolivé et enjôlé (sinon engeôlé).
Et bien sûr, Ambre n'a pas réagi à mon comme on enterre.
RépondreSupprimerIl était pourtant beau,comme celui sur le mystère de la maternité. Je me sens humilié , humilié, humide et lié ! Et pour un roi de France, même si "comme on l'enterre" à St Denis, c'est affreux.
Bon, j'arrête quand même ; mais Ambre, s'il te plaît, une aumône pour Bélisaire !
Hutin chagrin chez les bénédictins.
Hola, on se calme ! j'étais en vacances.
RépondreSupprimerPartie chercher, comme dans la chanson, le soleil...
Ravie que la chanson vous plaise, cher Hutin : vous l'avez écoutée ?
M'enfin on n'a pas idée de se mettre dans des états pareils ! Je n'humilie personne, moi. (Sauf si vraiment ça vous fait plaisir de le penser).