> photaphil : et puis quoiqu'on fasse, ce n'est pas bien. (soupir) Mais bon, ça ira mieux. Merci à toi, c'est très chic, ça fait du bien d'être compris.
Les déserts sont parfois arides et sans fin, pourtant il existe toujours des oasis perdues là où l'on ne les attend pas, toujours imprévisibles. Quant au désir, il a toujours une fin.
> chilina : merci pour cette douce pensée... bien arrivée. Des baisers.
> home : elle ne l'est pas, mais j'espère et je crois à un mieux avec les beaux jours, oui !
> anonyme : je retiens les deux derniers mots de chaque vers, alors ?
> Maud : merci, oui je crois au soleil ! bises.
> MD : (pas encore répondu à votre tag... mais parler de moi, je sèche !) Je crois aux oasis, oui. Quant au désir, peut-être mais il a du temps devant lui !
> A tous : merci, ça va aller mieux, j'y crois. Je suis très touchée de vos mots, car ce billet est plutôt embarrassant. Et comme on ne sait pas toujours quoi dire, je sais, merci aussi à ceux qui sont passés sans oser commenter.
Le soleil revient toujours en soi, pour nous tous en fait... Avec sa venue, la chaleur et surtout l'envie de Vivre, chassant nuages en nos têtes, obsédants... Alors laissons le entrer, s'installer, prendre ses aises, nous aimer, nous dorloter et enfin oublier nos pensées moroses et (ou) moribondes... Sortir, Sourire au premier regard qui se porte à votre encontre, Communiquer, Apprendre à se regarder et malgré nos différences, à s'apprécier pour ce que nous sommes tout simplement : des HUMAINS. Je le sais... Je connais... Cet état, je l'ai porté, et parfois même aimé du fond de ma tristesse et longue solitude... Mais l'amitié était là au rendez-vous et m'a fortement aidé à sortir de ce trou dans lequel je m'engloutissais jour et nuit... Alors, COURAGE... La vie est présente, à chaque seconde de notre existence, elle ne demande qu'à nous prendre par la main pour nous emmener sur les plus beaux chemins... Il suffit de la tendre et l'accepter enfin, cette main! Grosses bises pleines de tendresse, de courage, d'envies, à vous... pour MIEUX VIVRE. MICHEL
> Michel : du soleil, du courage, de la tendresse, je veux bien, à pleines mains, merci ! Bises.
> Lampe de chevet : il y a toujours du bleu derrière les nuages, oui. Et un rayon de lumière qui revient. Et des arc-en-ciel en chemin. Je vais ouvrir la fenêtre pour voir tout ça... et que ça rentre chez moi ! Merci...
Vive valeque
RépondreSupprimerBen on croise les doigts alors, pas drole ce genre de situation, très éprouvant pour l'entourage...
RépondreSupprimer> Anonyme : merci, c'est joliment dit.
RépondreSupprimer> photaphil : et puis quoiqu'on fasse, ce n'est pas bien. (soupir)
Mais bon, ça ira mieux. Merci à toi, c'est très chic, ça fait du bien d'être compris.
Une pensée pour t'aider à supporter ...
RépondreSupprimerBaisers
espérons qu'elle ne soit que saisonnière... le printemps revient, les montées de sève, tout ça quoi
RépondreSupprimerA coeur vaillant rien d'impossible
RépondreSupprimerCoeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire
Aller, vite, vite le printemps !!!!
RépondreSupprimerLe soleil fait des miracles, j'espère qu'il agira en votre (ta) faveur...
Bises
Les déserts sont parfois arides et sans fin, pourtant il existe toujours des oasis perdues là où l'on ne les attend pas, toujours imprévisibles. Quant au désir, il a toujours une fin.
RépondreSupprimer> chilina : merci pour cette douce pensée... bien arrivée. Des baisers.
RépondreSupprimer> home : elle ne l'est pas, mais j'espère et je crois à un mieux avec les beaux jours, oui !
> anonyme : je retiens les deux derniers mots de chaque vers, alors ?
> Maud : merci, oui je crois au soleil !
bises.
> MD : (pas encore répondu à votre tag... mais parler de moi, je sèche !)
Je crois aux oasis, oui. Quant au désir, peut-être mais il a du temps devant lui !
> A tous : merci, ça va aller mieux, j'y crois. Je suis très touchée de vos mots, car ce billet est plutôt embarrassant. Et comme on ne sait pas toujours quoi dire, je sais, merci aussi à ceux qui sont passés sans oser commenter.
Le soleil revient toujours en soi, pour nous tous en fait... Avec sa venue, la chaleur et surtout l'envie de Vivre, chassant nuages en nos têtes, obsédants... Alors laissons le entrer, s'installer, prendre ses aises, nous aimer, nous dorloter et enfin oublier nos pensées moroses et (ou) moribondes... Sortir, Sourire au premier regard qui se porte à votre encontre, Communiquer, Apprendre à se regarder et malgré nos différences, à s'apprécier pour ce que nous sommes tout simplement : des HUMAINS.
RépondreSupprimerJe le sais... Je connais... Cet état, je l'ai porté, et parfois même aimé du fond de ma tristesse et longue solitude... Mais l'amitié était là au rendez-vous et m'a fortement aidé à sortir de ce trou dans lequel je m'engloutissais jour et nuit... Alors, COURAGE... La vie est présente, à chaque seconde de notre existence, elle ne demande qu'à nous prendre par la main pour nous emmener sur les plus beaux chemins... Il suffit de la tendre et l'accepter enfin, cette main!
Grosses bises pleines de tendresse, de courage, d'envies, à vous... pour MIEUX VIVRE.
MICHEL
La dépression, c'est ne plus sentir la pression… et en souffrir. Ce n'est facile ni pour celui/celle qui l'affronte ni pour celui/celle qui la côtoie.
RépondreSupprimerDerrière les dépressions, il y a des anticyclones. Il faut y croire et les attendre… en saisissant de bonheur le moindre souffle d'air chaud.
Avec vous…
> Michel : du soleil, du courage, de la tendresse, je veux bien, à pleines mains, merci ! Bises.
RépondreSupprimer> Lampe de chevet : il y a toujours du bleu derrière les nuages, oui. Et un rayon de lumière qui revient. Et des arc-en-ciel en chemin. Je vais ouvrir la fenêtre pour voir tout ça... et que ça rentre chez moi ! Merci...
douloureux pour la personne qui l'a, mais ô combien aussi pour l'entourage !
RépondreSupprimerplein de tendresse, douce Ambre ..
Difficile en effet et j'imagine qu'il faut être "bien" pour deux... Fatigant, non ? Bon courage.
RépondreSupprimerBises de papillon
> Vallisnéria : merci, douce et fine Vallis, tu as tout compris. Une faiblesse passagère chez moi, mais je ne vais pas y laisser prise. Je t'embrasse.
RépondreSupprimer> VéroPapillon : usant oui, et quelquefois on craque un peu. Mais ça va aller, on relève la tête, il fait grand ciel bleu ! Bises à toi.
Oui,
RépondreSupprimerPeut-être " l'embrouillé " a-t-il répondu à sa façon à lui....
Allez savoir.
Merci à tous. J'ai retrouvé ma sérénité.
RépondreSupprimerJe crois qu'on va pouvoir avancer...